Il pleure dans mon coeur
Il pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?

Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un coeur qui s'ennuie,
Ô le chant de la pluie !

Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s'écoeure.
Quoi ! nulle trahison ?...
Ce deuil est sans raison.

C'est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine !

Des milliers et des milliers d'années
Ne sauraient suffire
Pour dire
La petite seconde d'éternité
Où tu m'as embrassé
Où je t'ai embrassée
Un matin dans la lumière de l'hiver
Au parc Montsouris à Paris
À Paris
Sur la terre
La terre qui est un astre.

C’est au pied d’un vieil érable,
Que s’est manifesté le coupable,
Dans un message gribouillé,
En mille morceaux déchiré.
« Vos kochonnets sont kidnappés,
Et c’est « moi » qui m’en suis occupé,
Si vous voulez les récupérer,
Rien de plus simple que la monnaie ! »

Nous n’avons pas encore identifié,
Qui pouvait être cet illuminé,
Mais nous pouvons déjà affirmer,
Qu’au Canada il s’est réfugié !

Le plus grand réseau du monde,
Est en ce moment perturbé,
Si bien que pour tout le monde,
Les pages refusent de s'afficher.

Vous avez sans doute compris,
Que c'est du net que je parlais,
Ce n'est donc pas à la mairie,
Oui chers éleveurs kochonlandais,
Qu'il faut aller se défouller...

En voila une belle bête,
Dis t'on en lui tapant sur la tête,
Si bien que le kochon ne trouve pas commode,
Que l'homme tienne ainsi ce dialogue !

Pourquoi d'abord me brutaliser,
Si c'est pour ensuite me congratuler ?
Parce que l'homme au fond est cruel,
Aussi avide que l'estomac de Pantagruel !